• Title/Summary/Keyword: $l^{\prime}{\hat{e}}tre$

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Kierkegaard: l'aspect de l'existence éthique et l'éthique de l'amour (키르케고르: 윤리적 실존의 양상과 사랑의 윤리학)

  • Lee, Myung-gon
    • Journal of Korean Philosophical Society
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    • v.129
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    • pp.167-191
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    • 2014
  • Pour Kierkegaard la condition de l'homme naturel est tragique. $D^{\prime}{\hat{e}}tre$ $s^{\prime}{\acute{e}}veiller$, ${\hat{e}}tre$ ignorant et $d{\acute{e}}nier$ sur son vrai ${\hat{e}}tre$, tous causent le $d{\acute{e}}sespoir$. En plus l'homme ne peut avoir une conviction sur son bonheur $jusqu^{\prime}{\grave{a}}$ la mort. Donc sa $th{\acute{e}}orie$ du bonheur ne se base pas sur le bonheur. Tous le monde vit dans une situation $o{\grave{u}}$ il y a une distance entre $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ $pr{\acute{e}}sent$ et son vrai ${\hat{e}}tre$. La vie ${\grave{a}}$ la perspective ${\acute{e}}thique$ s'apparaît comme se diriger vers son vrai ${\hat{e}}tre$ et ceci signifie $d^{\prime}{\acute{e}}tablir$ son ${\hat{e}}tre$ $int{\acute{e}}rieur$ en s'echappant la vie $esth{\acute{e}}tique$ qui est la vie sensitive et directe, et aussi faire s'identifier son ${\hat{e}}tre$ $ext{\acute{e}}rieur$ ${\grave{a}}$ son ${\hat{e}}tre$ $int{\acute{e}}rieur$. Le $p{\acute{e}}ch{\acute{e}}$ signifie la $s{\acute{e}}paration$ de son vrai ${\hat{e}}tre$, cela est la source de tout mal. L'obtention parfait de $l^{\prime}{\hat{e}}tre-soi$ exisge ${\hat{e}}tre$ en $pr{\acute{e}}sence$ devant l'Asolu(Dieu) en tant qu'individu unique, et s'accorder avec l'Absolu. Mais du fiat $m{\hat{e}}me$ que ceci est impossible pour tous, tout le monde ne peut vivre qu'ayant un peu de $p{\acute{e}}ch{\acute{e}}$. Donc l'aspect de la vie ${\acute{e}}thique$ s'apparaît une vie dynamique qui $d{\acute{e}}passe$ $soi-m{\hat{e}}me$ sans cesse. En contradiction qu'avec l'analyse sur $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ $pr{\acute{e}}sent$ qui est si tragique, la vertu de cette vie ${\acute{e}}thique$ est si optimiste. Elle est l'amour. Cet amour est $tr{\acute{e}}s$ excellent qui $d{\acute{e}}passe$ toute la vertu ${\acute{e}}thique$. En $v{\acute{e}}rit{\acute{e}}$ pour Kierkegaard, bien que le salut $lui-m{\hat{e}}me$ sera donner par la foi, le principe de cet amour est l'unique vertu qui ammene l'homme vers la foi et vers le salut. C'est pourquoi son ${\acute{e}}thique$ est essentiellement s'apparaît 'une ${\acute{e}}thique$ de l'amour', et la recherche sur cet amour, son principe et son aspect reste comme uneque $t{\hat{a}}che$ de $l^{\prime}{\acute{e}}thique$.

Le théâtre de torture chez Chae yoon-il - à travers la rencontre avec Lee hyun-hwa- (채윤일의 고문연극 -이현화와의 만남을 중심으로-)

  • LEE, Sunhyung
    • Journal of Korean Theatre Studies Association
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    • no.48
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    • pp.333-368
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    • 2012
  • Dans l'histoire du $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ $cor{\acute{e}}en$, la position de Chae yoon-il est $tr{\grave{e}}s$ $particuli{\grave{e}}re$. Il a $consacr{\acute{e}}$, dans ses $carri{\grave{e}}res$ de la mise en $sc{\grave{e}}ne$, toute son ${\acute{e}}nergie$ au $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ sans jamais $fl{\acute{e}}chir$ contre le pouvoir dictatorial. Un critique a dit que son $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ est semblable au $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ de la $cruaut{\acute{e}}$. Pourtant, dans la mesure $o{\grave{u}}$ il respecte le texte dramatique, et que son $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ a des tendances de la politique et qu'il oriente l'engagement du spectateur, il est certain que son $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ est loin du $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ de la $cruaut{\acute{e}}$. Ses $proc{\acute{e}}d{\acute{e}}s$ de la mise en $sc{\grave{e}}ne$ sont $tr{\grave{e}}s$ divers et il n'y a pas de $coh{\acute{e}}rences$ au niveau des styles dramatiques. $Malgr{\acute{e}}$ cela, nous pouvons trouver son $originalit{\acute{e}}$ de la mise en $sc{\grave{e}}ne$ dans la rencontre avec Lee hyun-wha. Le metteur en $sc{\grave{e}}ne$ ${\acute{e}}tablit$ son $esth{\acute{e}}tique$ $th{\acute{e}}{\hat{a}}trale$ en montant sur $sc{\grave{e}}ne$ de cinq $pi{\grave{e}}ces$ de Lee hyun-wha. Alors, en effet qu'est-ce que $l^{\prime}esth{\acute{e}}tique$ de la mise en $sc{\grave{e}}ne$ de Chae yoon-il produite par les ${\oe}uvres$ $th{\acute{e}}{\hat{a}}trales$ de Lee hyun-wha? Dans les $pi{\grave{e}}ces$ de Lee hyun-wha, il y a beaucoup de codes symboliques de la violence sexuelle comme le sadisme et le masochisme. L'implusion sexuelle $cach{\acute{e}}e$ dans le subconscient des personnages s'entrecroise avec le $m{\acute{e}}canisme$ du pouvoir politique. Alors, les abus sexuels et les mauvais traitements sur le corps deviennent une sorte de torture. L'expression cruelle des langages $sc{\acute{e}}niques$ n'est autre que la $r{\acute{e}}volte$ contre la $r{\acute{e}}alit{\acute{e}}$ actuelle de la politique. Son $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ de torture est donc une sorte de $m{\acute{e}}canisme$ de la catharsis pour dissiper le cauchemar et l'inconscient noir. La fantasie sexuelle construite par le monde inconscient de l'auteur dramatique $s^{\prime}{\acute{e}}panouit$ dans le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ de Chae yoon-il qui $r{\hat{e}}ve$ toujours l'esprit de la $libert{\acute{e}}$. Une des convictions dramatiques du metteur en $sc{\grave{e}}ne$, c'est que le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ tout d'abord doit ${\hat{e}}tre$ choquant. Il dit : "l'art doit ${\hat{e}}tre$ ${\grave{a}}$ la fois ${\acute{e}}mouvant$ et bouleversant. Cependant, dans la mesure $o{\grave{u}}$ le film ou la $t{\acute{e}}l{\acute{e}}vivion$ fait aujourd'hui une vive impression aux spectateurs, la part $donn{\acute{e}}e$ au $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ est le choc." Pour donner le choc aux spectateurs, le style de la torture est $tr{\grave{e}}s$ utile. $L^{\prime}esth{\acute{e}}tique$ $th{\acute{e}}{\hat{a}}tral$ du metteur en $sc{\grave{e}}ne$ respecte essentiellement l'intention de l'auteur. $N{\acute{e}}anmois$, le respect sur l'original ne se $d{\acute{e}}range$ pas $l^{\prime}interpr{\acute{e}}tation$ de son propre $id{\acute{e}}e$. Dans l'insistance de la torture, l'analyse rituelle sous la base du choc, il projecte le symbole $arch{\acute{e}}typal$ sur $sc{\grave{e}}ne$. Bien $s{\hat{u}}r$, il renforce le $caract{\grave{e}}re$ de la politique dans le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ de torture pour inviter des spectateurs de l'engagement. D'ailleurs, il y a l'aspect d'absurde dans le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ de torture qui insiste des violences ${\grave{a}}$ travers les langages $sc{\acute{e}}niques$ comme le $m{\acute{e}}tal$ froid, parce que le metteur en $sc{\grave{e}}ne$ $consid{\grave{e}}re$ que $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ humain vit dans l'absurde.

Nouvelle Dramaturgie et limites du Théâtre postmoderne à travers les pièces de Michel Vinaver (포스트모던 연극의 새로운 극작술과 그 한계 : 미셀 비나베르(Michel Vinaver)의 작품을 중심으로)

  • Ha, Hyung-Ju
    • Journal of Korean Theatre Studies Association
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    • no.53
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    • pp.203-233
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    • 2014
  • Depuis les $ann{\acute{e}}es$ 1990, sous l'influence de la $pens{\acute{e}}e$ postmoderne, des ${\oe}uvres$ $d{\acute{e}}constructivistes$ ont fait leur apparition dans le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ $cor{\acute{e}}en$. Cependant, cette approche est plus remarquable dans le domaine du $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ pratique que dans celui de $l^{\prime}{\acute{e}}criture$ dramatique. Par exemple, ce mouvement a $commenc{\acute{e}}$ avec les metteurs en $sc{\grave{e}}ne$ OH Tae-suk et GUI Gook-seo au $d{\acute{e}}but$ des $ann{\acute{e}}es$ 1990. Leur ont $succ{\acute{e}}d{\acute{e}}$ ensuite les metteurs en $sc{\grave{e}}ne$ CHOI Yong-hoon, de la troupe de $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ Chak Eun Shin Hwa, et PARK Kun-hyung. De plus, actuellement, de jeunes metteurs en $sc{\grave{e}}ne$ travaillent avec $perspicacit{\acute{e}}$, tels que KO Sung-woong, KANG Lyang-won et YOUN Han-sol. A $l^{\prime}oppos{\acute{e}}$ de ce $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ pratique, $l^{\prime}{\acute{e}}criture$ dramatique des $pi{\grave{e}}ces$ de $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ demeure au niveau de $l^{\prime}{\acute{e}}criture$ $repr{\acute{e}}sentative$ et est encore sans grande valeur. Pour $r{\acute{e}}fl{\acute{e}}chir$ ${\grave{a}}$ ce $probl{\grave{e}}me$, nous $consid{\acute{e}}rerons$ les $pi{\grave{e}}ces$ de Michel Vinaver dont la dramaturgie oppose $l^{\prime}{\acute{e}}criture$ $d{\acute{e}}constructiviste$ au principe $repr{\acute{e}}sentatif$ et ${\grave{a}}$ $l^{\prime}{\acute{e}}criture$ traditionnelle en ${\acute{e}}chappant$ au principe de $causalit{\acute{e}}$. Avec sa $strat{\acute{e}}gie$ de montage $sp{\acute{e}}cifique$, il $proc{\grave{e}}de$ avec une ${\acute{e}}criture$ $fragment{\acute{e}}e$ tout en $ins{\acute{e}}rant$ des dialogues $h{\acute{e}}t{\acute{e}}rog{\grave{e}}nes$. Il trouve ainsi le silence des mots, un $pr{\acute{e}}sent$ sensible, la $mat{\acute{e}}rialit{\acute{e}}$ des mots et des images ostensives ${\grave{a}}$ travers des dialogues $juxtapos{\acute{e}}s$, une $simultan{\acute{e}}it{\acute{e}}$ et une $discontinuit{\acute{e}}$ du dialogue. En examinant ses $pi{\grave{e}}ces$ de $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$, nous explorons cette nouvelle ${\acute{e}}criture$ qui $r{\acute{e}}siste$ au $r{\acute{e}}gime$ dramatique de la $repr{\acute{e}}sentation$. Toutefois, nous n'encenserons pas seulement cette ${\acute{e}}criture$ postmoderne. Plus $pr{\acute{e}}cis{\acute{e}}ment$, nous $rel{\grave{e}}verons$ ses limites, dans les circonstances $pr{\acute{e}}sentes$, en $r{\acute{e}}fl{\acute{e}}chissant$ aux limites du $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ postmoderne depuis le $d{\acute{e}}but$ des $ann{\acute{e}}es$ 2000. Ce faisant, nous souhaitons $d{\acute{e}}finir$ de nouvelles $possibilit{\acute{e}}s$ $esth{\acute{e}}tiques$.

La pensée sérieuse sur la mort et le sens métaphysique sur la mort chez Kierkegaard (키르케고르: 죽음에 관한 진지한 사유와 죽음의 형이상학적 의미)

  • Lee, Myung-gon
    • Journal of Korean Philosophical Society
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    • v.131
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    • pp.303-330
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    • 2014
  • Les avis des philosophes sur la mort sont $diff{\acute{e}}rentes$ selon leurs visions du monde. Certains essaient de surmonter la peur sur la mort, en $n{\acute{e}}gligeant$ la mort, et certains essaient de vivre le vraie vie par la $m{\acute{e}}ditation$ de la mort. Chez Kierkegaard la notion de la mort se $pr{\acute{e}}sente$ comme key-world $tr{\grave{e}}s$ important, et cela signifie qu'il parle par la mort une vie $s{\acute{e}}rieuse$ et vraie. Pour Kierkegaard la mort signifie d'abord la mort de la vie mondaine ou la $n{\acute{e}}gation$ de soi, cela est en faveur de sa conception de la nature humaine $o{\grave{u}}$ l'homme est fondamentalement un ${\hat{e}}tre$ $probl{\grave{e}}matique$ et ${\grave{a}}$ la fois ceuli qui a un rapport avec $l^{\prime}{\acute{e}}ternel$. Le $d{\acute{e}}sespoir$ de l'homme sur la vie $pr{\acute{e}}sente$ peut devenir 'la maladie qui entraîne la mort' c'est-${\grave{a}}$-dire la mort spirituelle, mais il peut donner aussi une chemin par laquelle l'homme se dirige en tant qu'individu vers l'Absolu. Chez lui ${\hat{e}}tre$ $s{\acute{e}}rieux$ signifie devenir existentiellement par la $n{\acute{e}}gation$ de soi. Et l'absence de la $sinc{\acute{e}}rit{\acute{e}}$ signifie l'absence de soi en tnat $qu^{\prime}{\hat{e}}tre$ spirituel. Ainsi la $pens{\acute{e}}e$ $s{\acute{e}}rieuse$ sur la mort $n^{\prime}{\acute{e}}tant$ autre chose que de penser la mort comme la partie de $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ $pr{\acute{e}}sent$, elle devient la source ${\acute{e}}nergique$ qui permet de vivre pleinement le $pr{\acute{e}}sent$ comme $r{\acute{e}}alit{\acute{e}}$ $li{\acute{e}}$ ${\acute{a}}$ $l^{\prime}{\acute{e}}ternit{\acute{e}}$. Sa $pens{\acute{e}}e$ $s{\acute{e}}rieuse$ sur la mort permet d'avoir une conviction religieuse par laquelle l'homme peut penser la mort corporelle comme aventure $li{\acute{e}}e$ ${\grave{a}}$ $l^{\prime}{\acute{e}}ternit{\acute{e}}$ et par laquelle l'homme peut penser aussi la vie $apr{\grave{e}}s$ la mort comme vraie vie que les justes avaient $d{\acute{e}}sir{\acute{e}}s$. Cette $pens{\acute{e}}e$ de Kierkegaard sur la mort signifie le sens $m{\acute{e}}taphysique$ sur la mort au sens $o{\grave{u}}$ elle est une $r{\acute{e}}alit{\acute{e}}$ $v{\acute{e}}cue$, et aussi la $pens{\acute{e}}e$ qui ${\acute{e}}claircit$ la sagesse des philosophes antiques ${\grave{a}}$ la perspective $chr{\acute{e}}tienne$ qui dit philosopher, c'est apprendre ${\grave{a}}$ mourir.

La méthodologie de lecture de la didascalie dans le théâtre contemporain (<현대희곡에서 지문 읽기의 방법적 고찰>)

  • Kim, Young-eun
    • Journal of Korean Theatre Studies Association
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    • no.53
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    • pp.89-128
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    • 2014
  • De notre temps, nous faisons face ${\grave{a}}$ un changement du $th{\hat{e}}atre$ dans son ensemble. Le $th{\acute{e}}atre$ contemporain tente de se $d{\acute{e}}marquer$ des autres formes artistiques, mais aussi des formes $litt{\acute{e}}raires$, lorsque la tendance est ${\grave{a}}$ la fusion des genres. Il existe ainsi de plus en plus de $th{\hat{e}}atre$ ${e}xp{\acute{e}}rimentaux$, $n{\acute{e}}s$ sous le nom de $th{\acute{e}}atre$ anthropologique, $th{\acute{e}}atre$ sociologique, $th{\acute{e}}atre$ ethnologique, $th{\acute{e}}atre$ ${\acute{e}}pist{\acute{e}}miologique$ ou $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ interculturel. La $m{\acute{e}}thodologie$ doit elle s'adapter ${\grave{a}}$ cette tendance de fusion? Au lieu de trouver une $m{\acute{e}}thode$ d'anlyse de chaque "nouveaux genre" $n{\acute{e}}$ de la fusion, nous nous interrogeons sur la $m{\acute{e}}thodologie$ pour ${\acute{e}}tudier$ le $th{\hat{e}}atre$ dans son ensemble. Si une telle $m{\acute{e}}thodologie$ d'analyse existait, quelle serait la $diff{\acute{e}}rence$ avec la $m{\acute{e}}thodologie$ $d{\acute{e}}j{\grave{a}}$ existante? Et si elle n'existait pas, quelle serait la meilleure $m{\acute{e}}thodologie$ $adapt{\acute{e}}e$? Nous $consid{\acute{e}}rons$ la $m{\acute{e}}thode$ d'analyse de la didascalie comme nouvelle $m{\acute{e}}thodologie$ $adapt{\acute{e}}e$. En effet, la didascalie $conna{\hat{i}}t$ sans cesse des $m{\acute{e}}tamorphoses$ dans $l^{\prime}{\acute{e}}criture$. De nombreux $th{\acute{e}}oriciens$ ont $d{\acute{e}}velopp{\acute{e}}$ des $m{\acute{e}}thodes$ d'analyse afin de mieux comprendre les diverses formes de $th{\acute{e}}atre$ comtemporain et ses didascalies. Notre travail est de rassembler les ${\acute{e}}tudes$ des $diff{\acute{e}}rents$ $th{\acute{e}}oriciens$ et de les ordonner ; afin de proposer un outil d'analyse $adapt{\acute{e}}$ pour $l^{\prime}interpr{\acute{e}}tation$ des $pi{\grave{e}}ces$ du $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ contemporain.

Logosphère de G. Bachelard et les rêveries de langue (바슐라르의 Logosphère와 언어적 몽상)

  • HONG, Myung-Hee
    • Cross-Cultural Studies
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    • v.25
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    • pp.679-694
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    • 2011
  • La langue est un des ${\acute{e}}l{\acute{e}}ments$ $privil{\acute{e}}gi{\acute{e}}s$ de la $r{\hat{e}}verie$ chez Bachelard. La langue est une force fondamentale de l'imagination. D'une part, elle garde son propre valeur dans le processus de l'imagination, et d'autre part elle forme sa propre image. La $priorit{\acute{e}}$ de langue chez Bachelard a, en effet, quelque liaison avec la notion de Logos qui avait ${\acute{e}}t{\acute{e}}$ $trait{\acute{e}}$ depuis longtemps comme $v{\acute{e}}rit{\acute{e}}$ ${\acute{e}}ternelle$ dans la $m{\acute{e}}taphysique$ occidentale. Cependant, la notion de logos de Bachelard se $diff{\grave{e}}re$ de celle de $m{\acute{e}}taphysique$ occidentale. Tandis que la $m{\acute{e}}taphysique$ traditionnelle traite le logos comme un but ${\acute{e}}ternel$ de sa $m{\acute{e}}ditation$, Bachelard donne l'importance sur la $capacit{\acute{e}}$ linguistique et imaginaire du logos. Le $logosph{\grave{e}}re$ est un des exemples qui montre bien la $diff{\acute{e}}rence$ entre la notion de logos de Bachelard et celle de $m{\acute{e}}taphysique$ traditionnelle. Le $logosph{\grave{e}}re$ est un $n{\acute{e}}ologisme$ de Bachelard qui est fait pour $d{\acute{e}}signer$ $l^{\prime}atmosph{\grave{e}}re$ verbal de la $soci{\acute{e}}t{\acute{e}}$ contemporaine $gr{\hat{a}}ce$ ${\grave{a}}$ l'emission de radio. Bachelard comprend le $ph{\acute{e}}nom{\grave{e}}ne$ de radio en tant que $r{\acute{e}}alisation$ de $Psych{\acute{e}}$ dans la vie quotidienne. C'est $gr{\hat{a}}ce$ ${\grave{a}}$ la technologie moderne que nous pouvons avoir l'univers de langue plus facilement par rapport aux $si{\grave{e}}cles$ $pr{\acute{e}}c{\acute{e}}dents$. Selon Bachelard, la radio n'est pas un simple instrument de communication. C'est une porte pour entrer dans la $r{\hat{e}}verie$ universelle. La radio est une voix du monde qui exprime notre inconscient. Quand un $r{\hat{e}}veur$ $r{\hat{e}}ve$, son $r{\hat{e}}verie$ se $d{\acute{e}}veloppe$ en se discutant avec le monde. Alors, quand nous $r{\hat{e}}vons$, nous parlons au monde et nous ${\acute{e}}coutons$ du monde, de sorte que nous devenons les citoyens du $logosph{\grave{e}}re$. Dans son oeuvre Sur la Grammatologie, J. Derrida critique la $m{\acute{e}}taphysique$ occidentale en la intitulant logocentrisme. Derrida pense que la philosophie occidentale a comme le but final la $pr{\acute{e}}sence$ de logos. Cette $pr{\acute{e}}sence$ de logos ne peut ${\hat{e}}tre$ $r{\acute{e}}alis{\acute{e}}e$ que par la langue de la voix, non pas par la langue de $caract{\grave{e}}re$. $D^{\prime}o{\grave{u}}$ vient le logocentrisme ou le phonocentrisme de $m{\acute{e}}taphysique$ occidental. Mais Derrida pense que le logocentrisme n'est qu'un autre aspect de l'ethnocentrisme ${\acute{e}}troit$ de l'occident. La notion de $logosph{\grave{e}}re$ de Bachelard a quelques ressemblances avec logocentrisme par ses apparences. Cependant, elles ont une $diff{\acute{e}}rence$ fondamentale depuis leur $d{\acute{e}}part$. Tandis que logocentrisme $tra{\hat{i}}te$ la parole en tant que $mani{\grave{e}}re$ d'expression de raison qui est une puissance fondamentale de l'homme, Bachelard pense que la parole est un $r{\acute{e}}sultat$ d'une opposition et fusion de notre raisons et parole. Bachelard pense que la parole est une $r{\acute{e}}alisation$ de l'image qui est l'essence de notre $psych{\acute{e}}$. Pour lui, la parole, la quintessence de $logosph{\grave{e}}re$, est le champ de l'imagination $d^{\prime}o{\grave{u}}$ jaillissent les images. C'est pour cela que $logosph{\grave{e}}re$ se situe ${\grave{a}}$ l'antipode de logocentrisme. $Logosph{\grave{e}}re$ nous fournit un espace de $r{\hat{e}}verie$ de langue. Notre $soci{\acute{e}}t{\acute{e}}$ contemporaine $fourr{\acute{e}}e$ des images visuelles creuses est $d{\acute{e}}pouill{\acute{e}}e$ de plus en plus des espaces de $r{\hat{e}}veries$. C'est une des raisons que le $logosph{\grave{e}}re$ de Bachelard doit ${\hat{e}}tre$ $r{\acute{e}}activ{\acute{e}}$ aujourd'hui.

Une étude sur les textes théâtrals de Young-Sun Yun: L'écriture théâtrale sur la mort et le deuil (윤영선 희곡 연구: 죽음과 애도의 글쓰기)

  • Ahn, chiwoon
    • Journal of Korean Theatre Studies Association
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    • no.52
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    • pp.117-157
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    • 2014
  • Cette ${\acute{e}}tude$ est pour l'objectif de rechercher sur $l^{\prime}{\acute{e}}criture$ $th{\acute{e}}{\hat{a}}trale$ de la mort et le deuil dans les $th{\acute{e}}{\hat{a}}tres$ chez Young-sun Yun(1954-2007) ${\grave{a}}$ travers des textes dramatiques ${\acute{e}}crits$ par $lui-m{\hat{e}}me$, qui ${\acute{e}}tait$ aussi le metteur en $sc{\grave{e}}ne$ depuis 1994 dans le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ contemporain en $Cor{\acute{e}}e$. Cette $th{\grave{e}}se$ est $commenc{\acute{e}}$ ${\grave{a}}$ ${\acute{e}}crire$ pas pour apprendre ses textes mais pour comprendre la ralation entre les textes et les ${\exp}{\acute{e}}riences$ de l'auteur. Ici, pour cela, j''ai $analys{\acute{e}}$ ses 4 $pi{\grave{e}}ces$ $th{\acute{e}}{\hat{a}}trales$ produites ${\grave{a}}$ cette ${\grave{e}}poque$, dont (1994), (2000), $d{\acute{e}}biteur$, mon $p{\grave{e}}re$ est $progress{\acute{e}}$ de cancer>(1996), (2005), en referrant les rapports entre $l^{\prime}{\acute{e}}criture$ dramatique et de la mort et le deuil de $p{\grave{e}}re$. Cette ${\acute{e}}tude$ $pr{\acute{e}}suppose$ un certain situation psychologue de l'auteur sur la mort et le deuil de personnage '$p{\grave{e}}re$'. L'auteur dramatique et le metteur en $sc{\grave{e}}ne$ du $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ Young-sun Yun propose certaines orientations de la mort de son $p{\grave{e}}re$ dans ses texts dramatiques: le sentiment de victime sous le pouvoir absolu de son $p{\grave{e}}re$. Chez lui, ${\acute{e}}crire$ le texte dramatique, c'est transmettre les amertumes d'esprit et une forme de $r{\acute{e}}flextion$ vis-${\grave{a}}$-vis de la relation avec son $p{\grave{e}}re$ surtout le $probl{\grave{e}}me$ $inachev{\acute{e}}$ de deuil. c'est-${\grave{a}}$-dire fournir des sentiments coupables et des $anxi{\acute{e}}t{\acute{e}}s$ qui $r{\acute{e}}sident$ au fond de son coeur, tout au long de sa vie. Pour cette objecif, il est ${\acute{e}}vident$ qu'il faudra toujours partir du texte et y revenir. J'ai $essay{\acute{e}}$ de ne pas $r{\acute{e}}duiser$ $l^{\prime}{\acute{e}}tude$ des textes au respect myope des paroles des personnage et rester la $r{\acute{e}}flextion$ pshchologique sur la mort et le processu de deuil. J'ai $essay{\acute{e}}$ d'appuyer mes remarques sur les sources $autoris{\acute{e}}es$: psychanalytiques en la $mati{\grave{e}}re$. C'est pourquoi j'ai cru devoir $pr{\acute{e}}senter$ cette recherche de l'analyse sous la forme d'une $synth{\grave{e}}se$ des principaux concepts de la $th{\acute{e}}orie$ de la pshchologie moderne qui permettent l'analyse des textes dramatiques.(Dany Nobus, David K. Switzer, Fritz Riemann, Giles Deleuze, Sigmund Freud, Julia Kristeva) Et auiss j'ai $essay{\acute{e}}$ de explorer l'imaginaire des paroles dans les textes en ses rapports avec l'auteur et les personnages et entre les personnages. Ainsi conçu, j'ai $analys{\acute{e}}$ les formes de paroles en ce qui concerne la mort de $p{\grave{e}}re$ et le deuil. Cette $mani{\grave{e}}re$ s'est $r{\acute{e}}v{\acute{e}}l{\acute{e}}e$ efficace pour montrer comment des traces de sentiment se transforment dans des textes. Dans les pluparts des personnages chez les textes de Young-sun Yun, on peut voir si $d{\acute{e}}finitivement$ leur cicatrices personnelles, $sensibilit{\acute{e}}s$ $m{\hat{e}}l{\acute{e}}s$, ce 'je-ne-pourrai-rien-contre-mon-$p{\grave{e}}re$' ou 'je-ne-sais-quoi-et-presque-$apr{\grave{e}}s$-la mort-de-mon pere'. Pour $d{\acute{e}}pouiller$ cet aspect, j'ai $montr{\acute{e}}$ qu'il n'y avait pas de $v{\acute{e}}rit{\acute{e}}s$ objectives, mais que la $subjectivit{\acute{e}}$ doit trouver le jeu triangulaire entre l'inconscient de l'auteur par les paroles des textes et par les rapports entre le symbolisant et le $symbolis{\acute{e}}$ dans les $repr{\acute{e}}sentation$ socio-culturelle en $Cor{\acute{e}}e$ d'aujourd'hui.

Une étude pour la critique de théâtre avec la sémiotique ouverte -avec par Jean Genet- (열린 기호학을 활용한 연극비평 연구 -장 주네의 <하녀들> 공연을 중심으로-)

  • LIM, Seon-Ok
    • Journal of Korean Theatre Studies Association
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    • no.40
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    • pp.239-275
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    • 2010
  • Cette ${\acute{e}}tude$ a pour but de proposer une $m{\acute{e}}thodologie$ de critique avec la $s{\acute{e}}miotique$ ouverte. La critique de $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ commence ${\grave{a}}$ lire le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$, l'analyse et juge son valeur. Il arrive souvent qu'on juge avec intutition. On dit que c'est une critique d'impressionnisme. Cette critique est subjective, mais pas objective. La $s{\acute{e}}miotique$ de Saussure offre la $m{\acute{e}}thodologie$ scientifique ${\grave{a}}$ la critique. A $c{\hat{o}}t{\acute{e}}$ de la critique d'impressionnisme qui est subjective, la $s{\acute{e}}miotique$ peut expliciter la raison objective. On ${\acute{e}}tait$ admiratif devant sa scientisme, pourtant $apr{\grave{e}}s$ quoi on critique sa non-$subjectivit{\acute{e}}$ et sa non-$historicit{\acute{e}}$. Dans l'opposition de $l^{\prime}objectivit{\acute{e}}$ et de la $subjectivit{\acute{e}}$, on tente de rechercher un model $int{\acute{e}}gr{\acute{e}}$ dialectiquement entre l'impressionisme(subjective) et la scientisme(objective). Pour cela, on doit aux Ecrits de linguistique $g{\acute{e}}n{\acute{e}}rale$ ($publi{\acute{e}}$ en 2002 chez Gallimard). Ces Ecrits nous aident ${\grave{a}}$ amener la $s{\acute{e}}miotique$ $ferm{\acute{e}}e$ sur la $s{\acute{e}}miotique$ ouverte et ${\grave{a}}$ $red{\acute{e}}couvrir$ la $pens{\acute{e}}e$ de Saussure. Ils nous font ouvrir un nouveau champ de recherche pour la $s{\acute{e}}miotique$ ouverte. L'essentiel de la $th{\acute{e}}orie$ saussurienne du signe $d{\acute{e}}pend$ de l'arbitraire et du circulaire du signe. On $red{\acute{e}}couvre$ la notion ${\acute{e}}largie$ du signe, dans Ecrits de linguistique $g{\acute{e}}n{\acute{e}}rale$, contre le courant majeur de linguistique et de structuralisme. Cette notion s'y focalise, ${\grave{a}}$ la valeur, ${\grave{a}}$ la $relativit{\acute{e}}$, ${\grave{a}}$ la $diff{\acute{e}}rence$ et au $syst{\grave{e}}me$. Avec elle, on tente d'adopter la $s{\acute{e}}miotique$ ouverte pour rechercher une $m{\acute{e}}thodologie$ de critique qui se veut objective et ${\grave{a}}$ la fois subjective. Il s'agit d'une difficile combinaison de l'impressionisme et de la scienticisme. Pour cela, la $m{\acute{e}}thodologie$ se $d{\acute{e}}veloppera$ en trois ${\acute{e}}tapes$. $1{\grave{e}}re$ ${\acute{e}}tape$: c'est lire le $th{\acute{e}}{\hat{a}}tre$ comme un signe total pour 1er jugement d'impressionnisme. $2{\grave{e}}me$ ${\acute{e}}tape$: c'est retrouver sa structure invisible dans la $relativit{\acute{e}}$ des signes. $3{\grave{e}}me$ ${\acute{e}}tape$: c'est juger, dans leur $relativit{\acute{e}}$, comment les $d{\acute{e}}tails$ de signes se fonctionnent. C'est lire les $d{\acute{e}}tails$ de signes et puis $r{\acute{e}}affirmer$ le jugement en $1{\grave{e}}re$ ${\acute{e}}tape$. Selon les $derni{\grave{e}}res$ deux ${\acute{e}}tapes$, on pourra comparer le premier jugement (impressif) et le dernier jugement (objectif), et enfin s'assumer comme critique. Selon la $m{\acute{e}}thodologie$ $propos{\acute{e}}e$, on pratique la critique sur ${\acute{e}}crit$ par Jean Genet, et mise en $sc{\grave{e}}ne$ par Lee Youn-Taek et par Park Jung-Hee. Pour la critique intertextuelle, on la fera en comparant les deux spectacles avec la $pi{\grave{e}}ce$ de Jean Genet. $D^{\prime}apr{\grave{e}}s$ la comparaison, Lee Youn-Taek met en $sc{\grave{e}}ne$ avec $fid{\acute{e}}lit{\acute{e}}$ la structre et les signes de $d{\acute{e}}tail$ de l'auteur, Park Jung-Hee change sa structre et ses signes pour mettre en $sc{\grave{e}}ne$ la $pi{\grave{e}}ce$ de Genet. Ils se $diff{\grave{e}}rent$ l'un et l'autre: Lee incite le discours de la classe sociale dans le spectacle, et Park y incite le discours du $d{\acute{e}}sir$. La $diff{\acute{e}}rence$ des signes dans la $relativit{\acute{e}}$ apporte la $diff{\acute{e}}rence$ de la signification de discours $th{\acute{e}}{\hat{a}}tral$, et enfin se font changer les significations de deux spectacles.

La Participation des habitants à la Constitution de Villages Touristiques Insulaires : le Cas de l'Île de Nangdo dans la Ville de Yeosu en Corée du Sud (도서지역 관광마을 조성을 위한 주민참여 방안 -여수시 낭도를 사례로-)

  • Lee, Jeong Hun
    • Journal of the Korean association of regional geographers
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    • v.22 no.1
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    • pp.86-101
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    • 2016
  • La situation de la $r{\acute{e}}gion$ rurale et maritime de la province de Jeollanam-do en $Cor{\acute{e}}e$ du sud se $caract{\acute{e}}rise$ par une relative $p{\acute{e}}nurie$ de population. Le projet 'Ces ${\hat{I}}les$ que l'on aime visiter', $g{\acute{e}}r{\acute{e}}$ par la province de Jeollanam-do, s'articule autour de villages insulaires lieux de bien- ${\hat{e}}tre$ pour viser une augmentation de la population. Il s'agit de $d{\acute{e}}velopper$ le tourisme durable en s'appuyant sur la $beaut{\acute{e}}$ des paysages naturels, l'histoire, la culture et les traditions de cette $r{\acute{e}}gion$ insulaire. Pour cela, la participation active des habitants est essentielle. Cette ${\acute{e}}tude$ a pour but de $r{\acute{e}}fl{\acute{e}}chir$ aux moyens de $d{\acute{e}}velopper$ la participation des habitants en se fondant sur une $enqu{\hat{e}}te$ $men{\acute{e}}e$ dans la campagne. Nous avons mutuellement $analys{\acute{e}}$ entre les moyens de la participation des habitants et l'apanage $d{\acute{e}}mographique$ ${\grave{a}}$ cause de leurs $r{\acute{e}}sultats$ $diff{\acute{e}}rentes$. Voici les moyens de la participation des habitants $fond{\acute{e}}s$ sur la $caract{\acute{e}}ristique$ communautaire: $l^{\prime}activit{\acute{e}}$ $r{\acute{e}}mun{\acute{e}}ratrice$ communautaire; $l^{\prime}am{\acute{e}}lioration$ de l'habitat; les loisirs dans la $r{\acute{e}}gion$. Nous proposons plusieurs exemples pour $d{\acute{e}}velopper$ des programmes $fond{\acute{e}}s$ sur la participation des habitants de $l^{\prime}{\hat{i}}le$ de Nangdo, d'un rite communautaire maritime et des programmes ${\acute{e}}ducationnels$ d'explication touristique.

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De l'image dans la philosophie cinémathographique chez G. Deleuze (들뢰즈 영화철학에서의 이미지론)

  • Jin, Gi-haeng
    • Journal of Korean Philosophical Society
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    • v.117
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    • pp.355-372
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    • 2011
  • G. Deleuze a $exerc{\acute{e}}$ sa philosophie $cin{\acute{e}}mathographique$ dans ses œuvres essentielles $Cin{\acute{e}}ma$ 1: l'Image-Mouvement(Minuit:1983) et $Cin{\acute{e}}ma$ 2: l'Image-Temps(Minuit:1985) qui n'indiquent pas l'histoire $cin{\acute{e}}mathographique$ mais la taxinomie, et par $cons{\acute{e}}quent$, de l'image et du code. Cette ${\acute{e}}tude$ consiste donc $\grave{a}$ rendre compte la de l'image que G. Deleuze touche dans cette $d{\acute{e}}finition$ et $\grave{a}$ $v{\acute{e}}rifier$ quelles images peuvent ${\hat{e}}tre$ $cat{\acute{e}}goris{\acute{e}}es$: comment. Nous distinguons l'image-mouvement et l'image-temps qui sont les $cat{\acute{e}}gories$ essentielles chez $Cin{\acute{e}}ma$. C'est surtout sur ce point que nous insistons. Dans ce cas, nous discutons aussi de la question des spectateurs du film qui conduit. Cette question permet susciter de la $mani{\grave{e}}re$ $d^{\prime}{\hat{e}}tre$ des spectateurs entre le film qui est $compos{\acute{e}}$ de l'image-mouvement dont G. Deleuze decrit comme 'classique' et le film qui est $trait{\acute{e}}$ de l'lmage-temps dont il $d{\acute{e}}finit$ comme 'moderne': quelle variation. Dans ce point $d^{\prime}{\acute{e}}tude$, G. Deuleuze ecrit cette question $mentionn{\acute{e}}e$ $\grave{a}$ travers son oeuvre $Cin{\acute{e}}ma$($\grave{a}$ voir ch.7, Volume2).