• Title/Summary/Keyword: Le dispositif

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An Ontological Question (디지털-재현, 오래된 존재론적 질문의 재등장)

  • KIM, Seongtae
    • Trans-
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    • v.5
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    • pp.1-27
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    • 2018
  • What is 'analyzing a movie'? And, what is 'its role in film studies'? The question required a systematic and scholarly answer, and filmologie was making a clear place for itself. Through psychology, aesthetics, text theories and of course semiotics, the conceptualization of 'film' has been formed. Deleuze, who has been continually writing about 'movies' in his philosophical essays, ended the debate in defining the relationship between 'image and essence' when he released 《Movie 1, Movement-Image》 in 1983. 'Film' rapidly became the topic of the century and became a 'device' that leads the way of thinking. The reason why Jean-Louis Boissier labeled this 'film' as 'device (le dispositif)' was not part of film studies. What should be noted is that the mention of 'film' became a key part of the debate of 'reproduction', which was the most popular subject of philosophy and humanities. In the digital era, the film is once again questioned about its definition. In retrospect, themes of core debates of 'History of cinema' have always been driven by simple and superficial technological changes. With the emergence of CG (Computer Graphics), the question of 'cinema' in the 21st century is not only a philosophical discussion on the problem of 'reproduction', but also a crucial change that shifted the focus of the debate on the nature of the film from 'production' to 'distribution'.

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Certains problemes fondamentaux de la syntaxe $reconsid{\acute{e}}r{\acute{e}}s$ du point de vue de la syntaxe positionnelle (위치통사론을 통해 살펴 본 몇 가지 통사론의 본질적 문제)

  • Leem, Jai-Ho
    • Lingua Humanitatis
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    • v.7
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    • pp.271-289
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    • 2005
  • Dans cet article, nous discutons de certains $probl{\grave{e}}mes$ syntaxiques en ayant recours $\grave{a}$ la $th{\acute{e}}orie$ linguistique de Milner. Nous remettons en question $l'ind{\acute{e}}pendance$ et $l'identit{\acute{e}}$ de la structure syntaxique, la relation entre le plan syntaxique et le plan lexical, le $caract{\grave{e}}re$ de la $g{\acute{e}}om{\acute{e}}trie$ de la syntaxe, etc.. La discussion est non seulement linguistique mais aussi interdisciplinaire et ${\acute{e}}pist{\acute{e}}mologique$, dans la mesure $o{\grave{u}}$ nous examinons la nature de $l'entit{\acute{e}}$ syntaxique et la $m{\acute{e}}thode$ "scientifique" de la syntaxe qui donne $acc{\grave{e}}s$ $\grave{a}$ $l'entit{\acute{e}}$ syntaxique. Selon Milner, il faut distinguer la place du terme lexical avec la position syntaxique qui est $l'entit{\acute{e}}$ syntaxique. La $premi{\grave{e}}re$ n'est pas syntaxique $\grave{a}$ strictement parler, mais elle, observable contrairement $\grave{a}$ la seconde, sert $\grave{a}$ conjecturer la dimension syntaxique, $c'est-\grave{a}-dire$ le $syst{\grave{e}}me$ positionnel. Le dispositif $th{\acute{e}}orique$ dans la $th{\acute{e}}orie$ linguistique de Milner n'est rien d'autre que l'ensemble des propositions qui permet, en absence d'observatoire, de conjecturer le $syst{\grave{e}}me$ positionnel sur la base du $syst{\grave{e}}me$ des places. Dire $l'ind{\acute{e}}pendance$ de la structure syntaxique revient $\grave{a}$ dire qu'il y a une coupure entre le $syst{\grave{e}}me$ positionnel et le $syst{\grave{e}}me$ des places. Autrement dit, sans cette coupure, on ne peut parler de $l'ind{\acute{e}}pendance$ de la structure syntaxique. Ainsi $distingu{\acute{e}}s$, les deux $syst{\grave{e}}mes$ en cause se mettent en relation soit naturels soit non naturels ou par distorsion $d'apr{\grave{e}}s$ Milner. La relation naturelle est une relation lexico-syntaxique $n{\acute{e}}e$ au moment $o{\grave{u}}$ un terme lexical occupe une position syntaxique dont la $cat{\acute{e}}gorie$ est identique $\grave{a}$ celle de son occupant. A la $diff{\acute{e}}rence$ de cette relation d'occupation naturelle $suppos{\acute{e}}e$ chez Milner comme une tendance du langage naturel, la relation d'occupation non naturelle est "paradoxale" dans le sens $o{\grave{u}}$ elle est produite dans la rencontre plus ou moins "anomale" entre l'occupant lexical et $l'occup{\acute{e}}$ syntaxique. Le $degr{\acute{e}}$ de l'anomalie qu'une langue autorise peut ${\hat{e}}tre$ $mesur{\acute{e}}$ empiriquement et doit ${\hat{e}}tre$ $vari{\acute{e}}$ en fonction de la langue $concern{\acute{e}}e$. Le $caract{\grave{e}re$ $g{\acute{e}}om{\acute{e}}trique$ de la syntaxe $am{\grave{e}}ne$ ${\grave{a}}$ remettre en cause, entre autres, $l'empiricit{\acute{e}}$ et la $mat{\acute{e}}rialit{\acute{e}}$ de la $g{\acute{e}}om{\acute{e}}trie$ syntaxique. En ce qui concerne ces sujets, nos $th{\grave{e}}ses$ sont les suivantes : la nature de la $g{\acute{e}}om{\acute{e}}trie$ syntaxique n'est pas a priori mais empirique ; la $g{\acute{e}}om{\acute{e}}trie$ de la syntaxe peut et doit ${\hat{e}}tre$ construite $\grave{a}$ l'aide de la logique "empirique".

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Foucault et la sexualité biologique (푸코와 생물학적 성 담론)

  • Hong, Eun-Young
    • Journal of Korean Philosophical Society
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    • v.105
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    • pp.423-460
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    • 2008
  • Les positions qu'essait d'expliquer les $probl{\grave{e}}mes$ divers ${\grave{a}}$ propos de la $sexualit{\acute{e}}$, faisaient ressortir les points biologiques des actions $d^{\prime}{\hat{e}}tre$ humain par ${\acute{e}}volutionnisme$ plutot qu'explique les $probl{\grave{e}}mes$ de la nature humaine, $d{\acute{e}}sirs$ sexuelles, par les $sci{\acute{e}}t{\grave{e}}s$, les cultures et les'institutions. En face des questions des $possibilit{\acute{e}}s$ d'explications biologiques sur toutes les actions sexuelles, ils sont $plac{\acute{e}}s$ en crise. Le fait que $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ humain est un'etre historique, n'implique pas ce qu'il est evolutionnaire. Pour cette raison, c'est difficile qu'on accepte le determisme biologique, $l^{\prime}{\acute{e}}volutionnisme$, sans conditions. En opposition avec cettes $id{\acute{e}}es$, Michel Foucault voudrait insister sur le fait de penser au sexe comme les $r{\acute{e}}sultats$ des productions sociologiques, politiques. Selon Foucault, la $sexualit{\acute{e}}$ n'est pas $donn{\acute{e}}$ de la nature que le pouvoir essaierait de mater, ou un domaine obscure que le savoir tendrait de $d{\acute{e}}voiler$, mais une sorte de dispositif historique. Donc, dans cet article, j'essaie d'examiner les processus, les differences, et les $probl{\grave{e}}mes$ entre les deux positions, puis je considere les limites philosophiques, des deux argumentations, et ses implications philosophique. Cela permet d'approcher ${\grave{a}}$ l'horizon divers du discours sexuelles de la $compr{\acute{e}}hension$.