• Title/Summary/Keyword: Image-Temps

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De l'image dans la philosophie cinémathographique chez G. Deleuze (들뢰즈 영화철학에서의 이미지론)

  • Jin, Gi-haeng
    • Journal of Korean Philosophical Society
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    • v.117
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    • pp.355-372
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    • 2011
  • G. Deleuze a $exerc{\acute{e}}$ sa philosophie $cin{\acute{e}}mathographique$ dans ses œuvres essentielles $Cin{\acute{e}}ma$ 1: l'Image-Mouvement(Minuit:1983) et $Cin{\acute{e}}ma$ 2: l'Image-Temps(Minuit:1985) qui n'indiquent pas l'histoire $cin{\acute{e}}mathographique$ mais la taxinomie, et par $cons{\acute{e}}quent$, de l'image et du code. Cette ${\acute{e}}tude$ consiste donc $\grave{a}$ rendre compte la de l'image que G. Deleuze touche dans cette $d{\acute{e}}finition$ et $\grave{a}$ $v{\acute{e}}rifier$ quelles images peuvent ${\hat{e}}tre$ $cat{\acute{e}}goris{\acute{e}}es$: comment. Nous distinguons l'image-mouvement et l'image-temps qui sont les $cat{\acute{e}}gories$ essentielles chez $Cin{\acute{e}}ma$. C'est surtout sur ce point que nous insistons. Dans ce cas, nous discutons aussi de la question des spectateurs du film qui conduit. Cette question permet susciter de la $mani{\grave{e}}re$ $d^{\prime}{\hat{e}}tre$ des spectateurs entre le film qui est $compos{\acute{e}}$ de l'image-mouvement dont G. Deleuze decrit comme 'classique' et le film qui est $trait{\acute{e}}$ de l'lmage-temps dont il $d{\acute{e}}finit$ comme 'moderne': quelle variation. Dans ce point $d^{\prime}{\acute{e}}tude$, G. Deuleuze ecrit cette question $mentionn{\acute{e}}e$ $\grave{a}$ travers son oeuvre $Cin{\acute{e}}ma$($\grave{a}$ voir ch.7, Volume2).

The 'Fantastic' in the René Laloux's movie (<죽은 시간들(Les Temps Morts), 르네 랄루(René Laloux) 작, 1964>의 환상성)

  • Han, Sang-Jung;Park, Sang-Chun
    • Cartoon and Animation Studies
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    • s.27
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    • pp.31-49
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    • 2012
  • This research aims at showing specificity of the 'fantastic' in the movie < Les temps morts (on 1964) > directed by Ren$\acute{e}$ Laloux (1929-2004 ), all over the world recognized director. This movie has a particular style by composing four forms of expression: the real recording (movie), the recording embellishes with images by image (animation), the drawing, the photo. This film is the most strange among his all films. Even if we could catch the key meaning of the film, it offer for the audience the sentiment incertain and unclear. If we consider 'the fantastic' as a hesitation between the real and the unreal, in diverse levels, this movie offers to the spectators the fantastic feelings. In order to present the way this film shows us the fantastic, we divide the film into 15 sequences according to the criteria of the visual elements and the auditive elements. We analyze specificities of this fantastic in diverse levels. At first, the first style of the drawing of Roland Topor, does not let us escape easily from the feeling of fantasy. The four representation formats(drawing, photo, animation, movie) are integrated into one whole by auditive elements(music, narration). On the other hand, certain parts incomprehensible are not integrated into the entire. are fully integrated into the unity that does not understand that part, leaving them can. Laloux leads the audience into a reality toward the end of the film, but he leave incertain sequences at the last moment. Through which the audience is again hesitant between the real and the unreal, the fantastic is strengthened as a result of the work. Finally, the fantastic of the film could be found at three levels. First, the fantastic drawing style of Roland Topor. In the second place, the fantastic exposed through the entire composition and structure of work. Overall, these by leaving through the availability of the story incomprehensible to the audience is to provide a fantastic sentiment.

Le Moi naturel et la cosmogonie chez Paul Valéry : au point de vue de la mythologie indienne (폴 발레리Paul Valéry의 본성적 '자아'와 우주 발생론 : 인도 신화를 중심으로)

  • JEANG, Kwangheam
    • Korean Association for Visual Culture
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    • v.23
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    • pp.463-524
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    • 2013
  • En exprimant 'la découverte de l'homme', Valéry, dans la Philosophie de la danse, représente «un plaisir qui allait jusqu'à une sorte d'ivresse, et si intense parfois, qu'un épuisement total de ses forces, une sorte d'extase d'épuisement pouvait seule interrompre son délire, sa dépense motrice exaspérée». Dans le même sens du plaisir, Jayadéva, dans son dithyrambe du Gîta-Govinda, représente la danse de Harî, une des nombreuses formes de Vichnou. Excités par le brûlant désir des jeux de la volupté, Hari et son amante Râdhâ cherchent au cours de la danse Râsa l'énergie vitale. Voilà la source du plaisir mystérieux valéryen. Ensuite l'eau, «élément essentiel de toute vie», est la mesure du temps de même que le soleil, l'eau est le principe de l'harmonie comme celui du monde. Finalement, chez Valéry, sous les diverses infleunces de l'eau mythique, la mer devient l'Océan de lait, soit le lieu de naissance, soit la substance maternelle, soit l'essence da la création universelle. Or tout au long de 「La Dormeuse」, Valéry évoque l'image de 'Vichnou-Narayana' sous l'influence de la mythologie indienne. Et sous une autre influence de Flaubert, Valéry évoque « d'étranges mondes abstraits». Malgré tout, Valéry crée lui-même, dans 「La Dormeuse」, une nouvelle image d'un monde abstrait : 'Vichnou-Narayana' couché sur un lit de lotus, porté par les replis du grand serpent Ananta, qui élève au-dessus du dieu endormi méditant, ses sept têtes formant une éspèce de dais - du sein de Narayana, richement décoré d'un collier d'étoiles et d'une couronne de pierres précieuses en forme de disque, croit un lotus qui porte Brahma dans son calice ; Lakchmi est aux pieds de son divin époux. L'épisode des dieux indiens est à un stade encore plus avancé de la destruction du symbole. Ils sont réduits à des formes symboliques obscures, non commentées et même difficilement identifiables. Le dieu rose qui mord son orteil dans une attitude à la fois mystérieuse et grotesque, c'est Vichnou qui a, selon le vichnouisme, le premier rôle dans la création du monde. Il flottait avant la création sur les eaux, couché sur une feuille de figuier, sous la forme d'un jeune enfant qui porte son pied vers sa bouche. Cette scène évoque la méditation et le repli sur soi de la divinité avant le commencement. Valéry désigne la cosmogonie particulière d'une religion bien déterminée(le vichnouisme) sans la nommer et en la vidant de son sens pouratnt capital, laissant subsister un symbole guetté par le grotesque, un dieu en enfance ; d'autre part, cette cosmogonie est télescopée et intégrée par une cosmogonie d'origine différente : le désemboîtement des trois dieux renvoie à la théorie sivaiste du Lingam, l'arbre de vie. Les dieux de la tirinité iendienne se détachent les un après les autres et il ne reste plus que la fleur sous la garde de Vichnou. Le désemboîtement des dieux paraît bien se référer à cette conception, malgré l'absence du lingam. Enfin toute la forme veille ; et tous les yeux sont ouverts.