• Title/Summary/Keyword: $d{\acute{e}}sespoir$

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Kierkegaard: l'aspect de l'existence éthique et l'éthique de l'amour (키르케고르: 윤리적 실존의 양상과 사랑의 윤리학)

  • Lee, Myung-gon
    • Journal of Korean Philosophical Society
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    • v.129
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    • pp.167-191
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    • 2014
  • Pour Kierkegaard la condition de l'homme naturel est tragique. $D^{\prime}{\hat{e}}tre$ $s^{\prime}{\acute{e}}veiller$, ${\hat{e}}tre$ ignorant et $d{\acute{e}}nier$ sur son vrai ${\hat{e}}tre$, tous causent le $d{\acute{e}}sespoir$. En plus l'homme ne peut avoir une conviction sur son bonheur $jusqu^{\prime}{\grave{a}}$ la mort. Donc sa $th{\acute{e}}orie$ du bonheur ne se base pas sur le bonheur. Tous le monde vit dans une situation $o{\grave{u}}$ il y a une distance entre $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ $pr{\acute{e}}sent$ et son vrai ${\hat{e}}tre$. La vie ${\grave{a}}$ la perspective ${\acute{e}}thique$ s'apparaît comme se diriger vers son vrai ${\hat{e}}tre$ et ceci signifie $d^{\prime}{\acute{e}}tablir$ son ${\hat{e}}tre$ $int{\acute{e}}rieur$ en s'echappant la vie $esth{\acute{e}}tique$ qui est la vie sensitive et directe, et aussi faire s'identifier son ${\hat{e}}tre$ $ext{\acute{e}}rieur$ ${\grave{a}}$ son ${\hat{e}}tre$ $int{\acute{e}}rieur$. Le $p{\acute{e}}ch{\acute{e}}$ signifie la $s{\acute{e}}paration$ de son vrai ${\hat{e}}tre$, cela est la source de tout mal. L'obtention parfait de $l^{\prime}{\hat{e}}tre-soi$ exisge ${\hat{e}}tre$ en $pr{\acute{e}}sence$ devant l'Asolu(Dieu) en tant qu'individu unique, et s'accorder avec l'Absolu. Mais du fiat $m{\hat{e}}me$ que ceci est impossible pour tous, tout le monde ne peut vivre qu'ayant un peu de $p{\acute{e}}ch{\acute{e}}$. Donc l'aspect de la vie ${\acute{e}}thique$ s'apparaît une vie dynamique qui $d{\acute{e}}passe$ $soi-m{\hat{e}}me$ sans cesse. En contradiction qu'avec l'analyse sur $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ $pr{\acute{e}}sent$ qui est si tragique, la vertu de cette vie ${\acute{e}}thique$ est si optimiste. Elle est l'amour. Cet amour est $tr{\acute{e}}s$ excellent qui $d{\acute{e}}passe$ toute la vertu ${\acute{e}}thique$. En $v{\acute{e}}rit{\acute{e}}$ pour Kierkegaard, bien que le salut $lui-m{\hat{e}}me$ sera donner par la foi, le principe de cet amour est l'unique vertu qui ammene l'homme vers la foi et vers le salut. C'est pourquoi son ${\acute{e}}thique$ est essentiellement s'apparaît 'une ${\acute{e}}thique$ de l'amour', et la recherche sur cet amour, son principe et son aspect reste comme uneque $t{\hat{a}}che$ de $l^{\prime}{\acute{e}}thique$.

La pensée sérieuse sur la mort et le sens métaphysique sur la mort chez Kierkegaard (키르케고르: 죽음에 관한 진지한 사유와 죽음의 형이상학적 의미)

  • Lee, Myung-gon
    • Journal of Korean Philosophical Society
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    • v.131
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    • pp.303-330
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    • 2014
  • Les avis des philosophes sur la mort sont $diff{\acute{e}}rentes$ selon leurs visions du monde. Certains essaient de surmonter la peur sur la mort, en $n{\acute{e}}gligeant$ la mort, et certains essaient de vivre le vraie vie par la $m{\acute{e}}ditation$ de la mort. Chez Kierkegaard la notion de la mort se $pr{\acute{e}}sente$ comme key-world $tr{\grave{e}}s$ important, et cela signifie qu'il parle par la mort une vie $s{\acute{e}}rieuse$ et vraie. Pour Kierkegaard la mort signifie d'abord la mort de la vie mondaine ou la $n{\acute{e}}gation$ de soi, cela est en faveur de sa conception de la nature humaine $o{\grave{u}}$ l'homme est fondamentalement un ${\hat{e}}tre$ $probl{\grave{e}}matique$ et ${\grave{a}}$ la fois ceuli qui a un rapport avec $l^{\prime}{\acute{e}}ternel$. Le $d{\acute{e}}sespoir$ de l'homme sur la vie $pr{\acute{e}}sente$ peut devenir 'la maladie qui entraîne la mort' c'est-${\grave{a}}$-dire la mort spirituelle, mais il peut donner aussi une chemin par laquelle l'homme se dirige en tant qu'individu vers l'Absolu. Chez lui ${\hat{e}}tre$ $s{\acute{e}}rieux$ signifie devenir existentiellement par la $n{\acute{e}}gation$ de soi. Et l'absence de la $sinc{\acute{e}}rit{\acute{e}}$ signifie l'absence de soi en tnat $qu^{\prime}{\hat{e}}tre$ spirituel. Ainsi la $pens{\acute{e}}e$ $s{\acute{e}}rieuse$ sur la mort $n^{\prime}{\acute{e}}tant$ autre chose que de penser la mort comme la partie de $l^{\prime}{\hat{e}}tre$ $pr{\acute{e}}sent$, elle devient la source ${\acute{e}}nergique$ qui permet de vivre pleinement le $pr{\acute{e}}sent$ comme $r{\acute{e}}alit{\acute{e}}$ $li{\acute{e}}$ ${\acute{a}}$ $l^{\prime}{\acute{e}}ternit{\acute{e}}$. Sa $pens{\acute{e}}e$ $s{\acute{e}}rieuse$ sur la mort permet d'avoir une conviction religieuse par laquelle l'homme peut penser la mort corporelle comme aventure $li{\acute{e}}e$ ${\grave{a}}$ $l^{\prime}{\acute{e}}ternit{\acute{e}}$ et par laquelle l'homme peut penser aussi la vie $apr{\grave{e}}s$ la mort comme vraie vie que les justes avaient $d{\acute{e}}sir{\acute{e}}s$. Cette $pens{\acute{e}}e$ de Kierkegaard sur la mort signifie le sens $m{\acute{e}}taphysique$ sur la mort au sens $o{\grave{u}}$ elle est une $r{\acute{e}}alit{\acute{e}}$ $v{\acute{e}}cue$, et aussi la $pens{\acute{e}}e$ qui ${\acute{e}}claircit$ la sagesse des philosophes antiques ${\grave{a}}$ la perspective $chr{\acute{e}}tienne$ qui dit philosopher, c'est apprendre ${\grave{a}}$ mourir.